Contessina RAS
Page d’Accueil Témoignages d’EMI Partagez votre EMI



DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Jusqu'à ce que je rencontre mon âme sœur, face à face, j'avais pensé que les âmes sœurs signifiaient simplement deux personnes bien assorties, un homme et une femme.

Quand je l'ai rencontré, j'étais complètement sous le charme. Je lui ai dit, mentalement, avec un grand cri de mon être intérieur : ‘Autrefois, il y a longtemps, nous étions la même personne. Puis quelque chose de terrible s'est produit et nous avons été déchirés et depuis, nous essayons de nous remettre ensemble !’

Il m'a dit à haute voix : 'Je peux voir toute ta vie, mais tu n'es pas encore prête pour ça.'

J’étais coincée dans un mariage cruel et il était marié à quelqu’un qui me ressemblait, mais qui était aussi cruelle avec lui que l’était mon mari avec moi. Nous n’avons eu que quelques minutes pendant sept jours pour parler puis nous sommes allés chacun de notre côté. Un an plus tard, il a été tué par un conducteur ivre. J’ai quitté mon corps et je l’ai trouvé, et c’est une histoire incroyable, que je raconterai une autre fois.

Pendant des années, j’ai demandé en méditant, 'Qu’est-ce que cela signifiait quand tu as dit, 'Je peux voir toute ta vie, mais tu n'es pas encore prête pour ça.'? Je n'ai jamais attendu avec suffisamment d'ouverture d'esprit pour entendre la réponse jusqu'à des années plus tard, longtemps après que j'aie demandé le divorce et que mon mari ait décollé dans son avion et se soit écrasé et ai brûlé.

Alors, finalement après avoir à nouveau pose la question 'Qu’est-ce que cela signifiait quand tu as dit, 'Je peux voir toute ta vie, mais tu n'es pas encore prête pour ça.'? J’ai entendu sa réponse. C’était , 'Que nous serions unis par la mort.'

Je savais que j'avais la bonne réponse, parce que nous fusionnions depuis que je suis sortie et que je l'ai trouvé. Cela chatouille si célestement lorsque nos molécules spirituelles se mélangent et que nous partageons un corps et un esprit, mais en tant que personne double, homme et femme et c'est ce que sont les anges, homme et femme. C'est pourquoi il n'y a pas de mariage au ciel. Et c'est ce que Johnny et moi sommes : UN ANGE !

Cela et bien plus encore sera dans un livre, que je compile, appelé,

'AVENTURES DANS LA RÉALITÉ HYPERDIMENSIONNELLE.'

En attendant, voici un poème-chanson dont il m'a donné le premier couplet dans un rêve. ft décrit précisément à quoi ressemblait notre première rencontre

JUSQU’À AUJOURD’HUI

Jusqu'à aujourd’hui, je n’ai jamais su---

Mon cœur pouvait se réveiller pour se briser et se briser encore.

Et jusqu'à aujourd’hui, je n’ai jamais su---

Mon Cœur pouvait souffrir comme s’il ne s’en remettrait jamais

Je t'ai vu debout seul,

Et j'ai ressenti une faim que je n'ai jamais connue.

Mon cœur a battu avec le ton le plus étrange,

Comme s'il reconnaissait le sien.

Et puis tes yeux ont regardé dans les miens

Avec amour, non-dit et divin.

Ton contact était délicat, doux et bienveillant.

Et les mots que tu as prononcés étaient dans mon esprit !

La vie exige un lourd tribut.

Nous devons chacun vivre un rôle séparé.

Nous avons dit "au revoir" et je ne suis pas entière.

Tu es le miroir de mon âme !

Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais su, ---

Mon cœur pouvait se réveiller pour se briser et se briser encore.

Et jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais su...

Mon cœur pouvait souffrir comme s'il ne s’en remettrait jamais.

----CONTESSINA ELIZABETH KEITH


COMMENT NAVIGUENT LES SOUCOUPES VOLANTES – Les âmes-sœurs se retrouvent même après la mort ?

C’était une nuit de juin 1967 quand j’ai été tirée hors de mon corps pour être témoin de la navigation d’une soucoupe volante. Je venais de me mettre au lit et j’étais allongée sur le ventre, ce qui est inhabituel pour moi. J’ai senti être tirée dehors par les pieds. Je me suis sentie nauséeuse et faible j’ai donc résisté et repris le contrôle. C’était nouveau pour moi d’être tirée dehors dans cette position ou d’avoir des nausées lors d’une transition hors du corps. La traction est réapparue, cette fois plus douce, avec une nausée plus faible. J’ai décidé de suivre.

Sans aucune perte de conscience, et aucune perte de temps, je me suis retrouvée assise sur un tabouret, un pied posé sur son échelon, l'autre sur un plancher partiel et mon bras reposant sur une table rectangulaire. En face de moi, à travers une fenêtre haute de 45cm, et ouvert tout autour du centre du bal d'un engin, j'ai vu, au-dessous de moi, une ville des plus belle. Tous les bâtiments étaient en stuc beige et tous les toits, que je voyais de haut, étaient de tuiles rouges. Toutes mes facultés de raisonnement étaient en alerte. Je sais qu’on était en pleine nuit, or ici, il faisait jour. Où étais-je ? Mon attention a été attirée vers deux membres de l’équipage.

Ils me tournaient le dos, un vers la gauche et un vers la droite. Ils étaient des humains de sexe masculin de taille moyenne parfaitement proportionnés, portant des costumes moulants qui les couvraient entièrement sauf pour leurs visages, qu’ils gardaient tournés opposés à moi. J’ai pensé qu’ils ne voulaient pas que je les reconnaisse. Il me semblait qu’ils étaient mon cousin, John et mon âme-sœur, Johnny, tous les deux décédés précocement de façon tragique. Les costumes qu'ils portaient semblaient être en maille métallique fine et extensible. Je pensais que c'était ce que certaines personnes décrivaient comme des écailles de poisson ou de la peau de reptile car cela ressemblait un peu à des paillettes. Mais c'était comme une micro-fibre, un micro-tissage métallique de couleur titane. J'ai regardé alentours. Le ballon au centre duquel j'étais assis mesurait environ cinq mètres de diamètre et était achevé de la manière la plus rudimentaire. Il était également meublé de la manière la plus spartiate.